Centre de Recherche sur les Poétiques du XIXe siècle
Université Sorbonne Nouvelle : 8, av. de Saint-Mandé, 75012 Paris
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Francesco Spandri est chercheur en littérature française à l’Université de Rome III. Il a consacré sa thèse à la question du comique chez Stendhal. Il s’intéresse au romantisme, aux grands romanciers du XIXe siècle, au thème financier dans le roman, à la critique littéraire, à la sociologie naissante. Il a consacré ses travaux à Stendhal, Balzac, Tocqueville, Dumas, Baudelaire, Barbey d’Aurevilly. Il participe au Dictionnaire Balzac, publié sous la direction d’Éric Bordas, Pierre Glaudes et Nicole Mozet, 2 vol. & support électronique (à paraître à Paris chez Classiques Garnier en 2014).
« Monte-Cristo et l’ambivalence de l’argent romanesque », Cahiers Alexandre Dumas, 39, 2013, p. 71-84
« Lire, voir, écrire le théâtre », L’Année stendhalienne, 11, 2012, p. 17-33
L’Année stendhalienne, 10, 2011 (“Stendhal et l’argent. Varia”), Avant-propos p. 9-19
« Monsieur le Capital et Madame la Terre », H. B. Revue internationale d’études stendhaliennes, 15-16, 2011-2012, p. 97-110
« Barbey face à Tocqueville », Littératures, 58-59, 2008, p. 25-35
« Stendhal, Balzac : gaieté ‘seiziémiste’ et identité nationale », dans Une liberté orageuse, Balzac-Stendhal : Moyen Âge, Renaissance, Réforme, Michel Arrous, Florence Boussard et Nicolas Boussard (éds), Paris, Eurédit, 2004, p. 291-302
L’“art dekomiker”: comédie, théâtralité et jeu chez Stendhal, Paris, Champion, coll. Romantisme et modernités, 2003, 262 p.
« Les Fleurs du mal et la pensée de l’ironie », L’Année Baudelaire, 7, 2003, p. 91-100